Selon les experts du GIEC, si la température progressait de 2°C à l’échelle mondiale, le réchauffement climatique engendrerait la perte de la moitié de l’habitat naturel pour 8 % des vertébrés, 18 % des insectes et 16 % des plantes. Des changements sont déjà visibles sur la biodiversité du Parc national.